L'Hebdo #158 : Quelques secousses sur les marchés financiers mais rien d'alarmant et la combinaison gagnante de l'assurance-vie, du PEA et du PER
📈 Les news qui ont fait bouger les marchés cette semaine
1. Retour de la volatilité boursière
Après quatre à six mois de hausse quasi ininterrompue selon les zones, les marchés ont enfin levé le pied. En une semaine, le CAC 40 et le Stoxx Europe 600 reculent d’un peu plus de 2 %, le S&P 500 perd près de 2 %, le Nikkei plus de 3 %. On n’est pas dans un krach, mais dans une phase classique de correction après un rallye très puissant, avec des prises de bénéfices ciblées sur tout ce qui avait le plus monté depuis le printemps. Les valeurs cycliques et de croissance sont les plus touchées, en particulier l’auto, les semi-conducteurs et une partie de la tech, tandis que les segments jugés « ennuyeux » reprennent la main, comme la santé, les services aux collectivités ou certains acteurs de la consommation de base. Cette rotation se voit aussi dans les performances individuelles, avec par exemple des titres comme Exact Sciences, Roche ou Jazz Pharma qui s’illustrent positivement, quand Soitec, AMS-Osram, Valeo ou Ocado subissent des corrections très lourdes.
En toile de fond, la volatilité remonte nettement, le VIX revient vers des niveaux associés à un marché plus tendu, et les séances deviennent beaucoup plus erratiques, avec des indices capables de passer de +2 % à –2 % en quelques heures. Les cryptomonnaies amplifient parfaitement ce changement d’humeur, le bitcoin ayant perdu près d’un tiers de sa valeur depuis son pic du mois dernier et repassant en performance négative depuis le début de l’année. On est typiquement dans une phase où l’aversion au risque remonte, où les investisseurs réduisent l’exposition aux segments les plus spéculatifs et où chaque séance de vendredi, en pleine période de compensation sur les options, peut devenir un test psychologique pour le marché.
2. L’enthousiasme pour l’IA mis à l’épreuve
Nvidia reste le symbole parfait de cette phase de doute. La société a encore publié des résultats « hors norme » avec un chiffre d’affaires et des bénéfices stratosphériques, malgré les contraintes sur le marché chinois, ce qui confirme l’ampleur du cycle d’investissement dans l’intelligence artificielle. À court terme, cette publication a effectivement permis un rebond technique sur les indices, notamment en Asie, et un sursaut du titre en after-market. Mais l’effet euphorisant n’a pas tenu bien longtemps, ce qui est révélateur du climat actuel. Le marché n’interroge plus la capacité de Nvidia à gagner de l’argent, il s’interroge sur la capacité de l’ensemble de l’écosystème IA à rentabiliser cette vague d’investissements colossaux.
Les investisseurs commencent à distinguer très clairement deux catégories d’acteurs, ceux qui peuvent financer sans difficulté leurs dépenses (trésoreries massives, bilans solides, accès au crédit facile) comme Alphabet, et ceux qui doivent recourir à davantage de dette ou à des montages plus agressifs pour suivre le rythme, comme Oracle ou certains nouveaux acteurs de l’IA ou du cloud. Résultat, les valeurs les plus exposées à la thématique IA et les plus chèrement valorisées subissent une véritable purge, avec des reculs à deux chiffres sur un mois pour des dossiers comme Palantir, CoreWeave, AMD ou d’autres noms de la « hype » IA. Le Nasdaq 100, qui avait gagné près de 60 % entre avril et fin octobre, corrige d’environ 5 à 6 %, ce qui reste une consolidation dans un marché haussier, mais sur fond de doute croissant sur le scénario du « super-cycle IA sans accroc ». Les investisseurs restent donc fascinés par Nvidia, mais de plus en plus sélectifs et exigeants sur le reste de la chaîne de valeur.
3. Les espoirs de baisse des taux américains s’estompent
Le troisième pilier de la semaine, c’est le changement de ton sur les taux d’intérêt américains. Les minutes de la Fed, combinées à des chiffres de l’emploi robustes publiés avec retard à cause du shutdown, ont modifié la perception du marché. Là où les investisseurs voyaient quasiment acquise une nouvelle baisse de taux dès la réunion du 10 décembre, la probabilité d’un geste est retombée en quelques semaines de plus de 90 % à une zone minoritaire autour d’un tiers. Le marché price de plus en plus un statu quo, en l’absence de données fraîches suffisantes pour justifier un assouplissement monétaire supplémentaire. Cette bascule se traduit par un dollar plus ferme, une pression sur l’or et le pétrole, et un environnement de financement qui reste exigeant pour les entreprises qui doivent investir massivement, notamment dans l’IA et les infrastructures associées.
Pour autant, le marché obligataire ne panique pas, au contraire, les rendements longs continuent de se détendre progressivement, le 10 ans américain restant sous les 4,15 %. Les investisseurs obligataires semblent considérer que, malgré l’absence de baisse immédiate, le cycle de resserrement est terminé et que la prochaine étape se fera bien à la baisse, mais plus tard que prévu. En pratique, cela crée une situation un peu inconfortable pour les actions, coincées entre des taux encore élevés à court terme, des valorisations exigeantes sur les grandes valeurs de croissance et un flux de données macro qui continue d’arriver au compte-gouttes après le shutdown. La fin de la saison de résultats va recentrer l’attention sur la macroéconomie et la Fed, avec comme point de mire la décision de politique monétaire du 10 décembre et la publication échelonnée des statistiques américaines d’ici là, dans un climat de nervosité et de sensibilité accrue à chaque annonce.
📰 Le dossier de la semaine : Une secousse, mais rien d’alarmant pour les marchés
La première quinzaine de novembre a rappelé que même les phases les plus euphoriques peuvent connaître des moments de tension. Après un parcours exceptionnel depuis le printemps, les marchés actions ont subi un nouvel accès de volatilité, avec des indices qui ont terminé la semaine dans le rouge. Cette respiration intervient à la suite d’une hausse de près de 40 % du S&P 500 depuis les creux d’avril, un mouvement presque linéaire qui semblait difficile à prolonger sans à un moment donné provoquer un retour de prudence.
Derrière ces variations, deux éléments ont dominé la scène : l’essoufflement de la dynamique dans les valeurs technologiques liées à l’intelligence artificielle et l’incertitude autour de la prochaine décision de la Réserve fédérale, toujours confrontée à un manque de clarté sur l’état réel de l’économie américaine. Malgré ces secousses, la situation actuelle ressemble davantage à un ajustement nécessaire qu’à un changement de tendance.
L’IA sous pression après des mois d’euphorie
Le groupe des géants technologiques a connu une semaine difficile. Sur le mois de novembre, ces valeurs reculent alors qu’elles avaient largement tiré les indices vers le haut depuis le début de l’année. La publication très attendue des résultats trimestriels de NVIDIA illustre parfaitement ce retournement.
Les chiffres annoncés étaient solides, avec des ventes supérieures aux attentes et des perspectives revues à la hausse. Pourtant, après une brève réaction positive, le marché s’est rapidement retourné. L’action, qui avait soutenu la hausse du S&P 500 en ouverture, a finalement clôturé en baisse, entraînant avec elle un mouvement de repli plus large. Historiquement, une séance où une hausse marquée à l’ouverture se termine dans le rouge est rare, ce qui montre l’état de nervosité des investisseurs.
Deux facteurs expliquent cette réaction paradoxale. D’abord, les anticipations sur la croissance future des ventes dans le secteur deviennent plus raisonnables, ce qui met fin au sentiment d’expansion quasi exponentielle observé ces derniers trimestres. Ensuite, même si les dirigeants tentent de tempérer les craintes de bulle, l’ampleur des investissements nécessaires pour soutenir les infrastructures de l’IA commence à susciter des interrogations. Plusieurs entreprises technologiques financent désormais leurs dépenses d’IA par de nouveaux emprunts et adoptent des modèles économiques plus gourmands en actifs et en capital.
Ce changement structurel modifie la perception du risque, notamment pour celles qui affichaient jusqu’à présent des bilans très solides. Certains indicateurs de crédit se tendent, révélant que le marché surveille de près les capacités de financement et la pression à venir sur les marges. Pourtant, malgré l’ajustement actuel, les fondamentaux demeurent robustes et les prévisions d’investissement restent massives. Le repli des dernières semaines traduit donc davantage un repositionnement qu’une remise en cause de long terme.
Une Réserve fédérale face au brouillard statistique
L’autre élément ayant alimenté la volatilité tient à l’incertitude entourant la prochaine décision de la Réserve fédérale. Après deux baisses de taux consécutives en septembre et octobre, les marchés espéraient une nouvelle détente en décembre. Mais la situation s’est compliquée depuis le long shutdown du gouvernement américain, qui a perturbé la collecte et la publication de nombreuses données économiques.
Le rapport sur l’emploi de septembre, dévoilé tardivement, a montré une amélioration des créations d’emplois mais aussi une progression régulière du taux de chômage. Quant aux données d’octobre et novembre, elles arriveront trop tard pour éclairer la décision de politique monétaire. De même, l’inflation du mois d’octobre ne sera connue qu’après la réunion de décembre.
Pour une banque centrale dont le mandat repose sur l’analyse fine du marché du travail et des prix, cette absence de visibilité pose problème. Plusieurs membres du comité ont exprimé leur gêne face à cet environnement brouillé. Dans le même temps, l’inflation reste proche de 3 %, ce qui alimente la prudence des membres les plus restrictifs qui jugent risqué de continuer à desserrer la politique monétaire sans données fiables.
Les anticipations de marché ont donc fortement fluctué. À la fin octobre, un nouveau recul de taux semblait quasiment assuré. Début novembre, la probabilité s’est effondrée autour de 30 %, avant de remonter de nouveau vers 70 % en fin de semaine grâce à des déclarations jugées plus conciliantes. Cette volatilité illustre l’incertitude ambiante, mais le scénario d’ensemble reste orienté vers une détente monétaire graduelle en 2026, même si le point bas des taux pourrait se situer légèrement au-dessus de ce que prévoit actuellement le marché.
Une correction saine dans un marché encore constructif
À ce stade, le repli observé ressemble davantage à une consolidation attendue qu’à un véritable retournement. Après plusieurs mois de hausse continue, un ajustement de valorisation paraissait inévitable, d’autant que certains segments, notamment technologiques, avaient atteint des niveaux de prix très exigeants.
Cette respiration a permis l’émergence d’une rotation sectorielle. Les flux se sont orientés vers des secteurs longtemps délaissés comme la santé ou les matériaux-énergie, qui bénéficient de valorisations plus attractives et d’une moindre sensibilité aux variations de taux. Les valeurs de taille moyenne, ainsi que certains indices internationaux, profitent également de ce rééquilibrage et pourraient continuer à attirer l’attention si les marchés poursuivent leur rotation naturelle vers des segments moins concentrés.
Ce mouvement rappelle l’importance d’une diversification réelle à l'intérieur d’un portefeuille. La progression spectaculaire des valeurs liées à l’IA ces dernières années a mécaniquement augmenté leur poids dans les allocations. Pour certains investisseurs, cela signifie qu’une part excessive de leur exposition dépend désormais d’un groupe restreint de sociétés. La correction actuelle sert de rappel utile : même les tendances les plus solides peuvent connaître des phases de repli et doivent être intégrées dans une allocation équilibrée.
Une opportunité pour réallouer et reconstruire
Dans un environnement où l’inflation gravite autour de 3%, les placements de trésorerie offrent aujourd’hui un rendement réel modeste, parfois inférieur à 1%. Le recul des marchés ouvre donc potentiellement une fenêtre d’entrée plus intéressante pour ceux qui souhaitent renforcer leur exposition ou remettre à niveau un portefeuille devenu trop concentré.
Si le cycle de baisse des taux se poursuit l’an prochain, cela pourrait soutenir non seulement les grandes capitalisations technologiques mais aussi les segments plus sensibles aux taux, comme les valeurs moyennes ou certains marchés émergents. À condition évidemment que la croissance économique américaine reste suffisamment solide pour accompagner cette dynamique.
Les secousses récentes ne marquent pas la fin du cycle. Elles traduisent plutôt une transition interne du marché, entre prise de bénéfices, ajustements de valorisation et incertitudes liées à la politique monétaire. Dans ce contexte, une allocation diversifiée et réfléchie reste la meilleure manière de bénéficier des tendances de long terme tout en amortissant les épisodes de volatilité.
🏦 Investissement : Assurance-vie, PEA et PER, trois enveloppes fiscales complémentaires pour structurer un patrimoine solide
Lorsqu’on cherche à construire une stratégie d’épargne efficace sur le long terme, trois enveloppes ressortent systématiquement : l’assurance-vie, le plan d’épargne en actions (PEA) et le plan d’épargne retraite (PER). Chacune possède un rôle distinct, sa propre logique fiscale et un niveau de liquidité différent. Leur combinaison, bien calibrée selon les objectifs de l’épargnant, constitue souvent une architecture patrimoniale cohérente, équilibrée et durable.
Si ces trois solutions semblent parfois se concurrencer, elles répondent en réalité à des besoins différents : protéger une épargne disponible et modulable avec l’assurance-vie, capitaliser en bourse avec le PEA, préparer la retraite tout en optimisant sa fiscalité avec le PER. L’enjeu consiste donc à comprendre leurs forces, leurs limites et leur complémentarité.
L’assurance-vie, une base patrimoniale souple et polyvalente
L’assurance-vie reste la première brique de la plupart des stratégies d’épargne. Sa force vient de sa flexibilité, de la diversité des supports accessibles et d’un régime fiscal qui protège la capitalisation dans le temps.
Elle permet de combiner un fonds en euros sécurisé et des unités de compte plus dynamiques, tout en laissant les gains se constituer à l’abri de l’impôt tant qu’aucun retrait n’est effectué. Seuls les prélèvements sociaux sont prélevés au fil de l’eau sur le fonds en euros. En cas de revalorisation de la CSG, ce taux pourrait passer de 17,2 % à 18,6 %, mais le fonctionnement global resterait identique.
L’autre avantage vient de la possibilité de retirer des sommes quand on le souhaite, sans remettre en cause le contrat. L’imposition ne porte que sur les gains, avec un taux réduit après huit ans et un abattement annuel qui diminue encore la fiscalité. Cette souplesse fait de l’assurance-vie une enveloppe accessible à tout moment pour financer un projet ou se constituer un complément de revenus.
Sur le plan successoral, elle sort des règles habituelles. Les capitaux transmis bénéficient d’un abattement par bénéficiaire lorsque les versements ont été réalisés avant 70 ans. C’est un levier puissant pour organiser une transmission en dehors de l’héritage classique, tandis que les supports eux-mêmes ne peuvent pas être transmis de son vivant.
Cette polyvalence reste la raison pour laquelle l’assurance-vie occupe une place centrale dans une stratégie patrimoniale.
Le PEA, un outil ciblé pour la performance boursière à long terme
Le plan d’épargne en actions se destine aux investisseurs qui souhaitent profiter pleinement du potentiel des marchés européens. Son principal atout réside dans son régime fiscal : les gains capitalisent librement tant qu’aucun retrait n’est effectué, et ils deviennent totalement exonérés d’impôt après cinq ans. Seuls les prélèvements sociaux restent dus.
Il s’agit donc d’un véhicule idéal pour investir de manière dynamique sur des actions ou des fonds comportant une forte proportion d’actions. Le PEA peut financer un projet, servir de complément de revenus via des retraits partiels ou, dans certains cas, être converti en rente viagère défiscalisée. C’est un outil particulièrement performant pour qui accepte la volatilité inhérente aux marchés boursiers.
Ses limites existent toutefois. D’une part, le plafond de versement est restreint. D’autre part, l’univers d’investissement est centré sur l’Europe, ce qui impose un minimum de diversification complémentaire via d’autres enveloppes. En cas de décès, le plan intègre la succession et supporte prélèvements sociaux et droits de succession.
Néanmoins, grâce à sa fiscalité avantageuse et son potentiel de performance, le PEA constitue un excellent complément à l’assurance-vie, notamment pour un horizon long et un objectif de valorisation.
Le PER, l’enveloppe la plus puissante fiscalement… mais la moins liquide
L’essor du plan d’épargne retraite s’explique par un avantage fiscal unique. Les versements sont déductibles du revenu imposable dans la limite des plafonds légaux. Pour les revenus les plus élevés, l’économie d’impôt peut être très significative, et il est possible d’utiliser les plafonds non utilisés des années précédentes ainsi que ceux du conjoint.
En phase de capitalisation, les gains générés dans un PER restent protégés de l’impôt et des prélèvements sociaux. Les contrats permettent d’accéder à une palette d’allocations adaptées à tous les profils de risque, et à l’issue de la vie active, l’épargne peut être récupérée sous forme de capital, de rente, ou d’un mélange des deux, avec une fiscalité spécifique selon le mode de sortie.
La contrepartie est son manque de liquidité : sauf cas exceptionnels ou achat de la résidence principale, les sommes restent bloquées jusqu’à la retraite. C’est la condition qui justifie l’avantage fiscal à l’entrée. Le PER doit donc être choisi avec une vraie vision long terme, et de préférence par des contribuables dont la tranche marginale d’imposition est élevée.
Utilisé au bon moment et pour les bons objectifs, il constitue un puissant levier de préparation de la retraite.
Une combinaison gagnante lorsqu’on articule correctement les trois enveloppes
Ces trois placements ne doivent pas être mis en concurrence. Ils fonctionnent comme des étages successifs au sein d’une stratégie patrimoniale globale :
- L’assurance-vie apporte la liquidité, la souplesse et l’optimisation de la transmission.
- Le PEA offre la performance potentielle grâce aux marchés actions, dans un cadre fiscal allégé.
- Le PER crée un avantage fiscal immédiat et sécurise la construction d’un capital retraite.
Bien utilisés, ils permettent de couvrir les besoins de court, moyen et long terme tout en profitant de la capitalisation protégée, de régimes successoraux favorables et d’opportunités de rendement adaptées au profil de chacun.
💸 Les annonces d’entreprises à noter de la semaine :
Airbus a signé un contrat d'achat avec la compagnie aérienne nationale chinoise Air China Cargo Co. pour six A350F. L'avionneur européen serait par ailleurs en passe de remporter une commande d'une centaine d'appareils auprès de Flydubai aux dépens de Boeing.
Wizz Air réduit ses activités à l'aéroport de Londres Gatwick dans le cadre d'une campagne de réduction des coûts.
Apple intensifierait la planification de la succession du PDG Tim Cook, selon le FT.
Tesla exige de ses fournisseurs qu'ils évitent d'utiliser des pièces fabriquées en Chine pour les voitures destinées au marché américain, selon le WSJ.
Samsung Electronics va investir 310 milliards de dollars pour stimuler l'expansion de l'IA. LG Electronics, SK Hynix et Hyundai Motor vont aussi dépenser des dizaines de milliards en Corée du Sud.
Rome veut conserver 4,9% de Banca Monte dei Paschi et privilégie une fusion ultérieure avec Banco BPM, même si elle n'a pas de moyen direct d'empêcher Crédit Agricole de lancer une opération sur Banco BPM.
S&P Global abaisse la note d'Adecco de "BBB+" à "BBB", perspective stable.
Amazon va lever 15 milliards de dollars grâce à sa première émission obligataire aux Etats-Unis depuis 2022.
La milliardaire australienne Gina Rinehart est devenue la principale actionnaire du producteur américain de terres rares MP Materials.
Stellantis élargit l'accès à la recharge des véhicules électriques grâce à l'intégration du réseau Supercharger de Tesla. Aussi, le constructeur envisage la construction d'une usine de fabrication en Arabie saoudite.
SAP s'associe à Capgemini, Mistral AI et Bleu pour proposer des solutions de cloud souverain.
Interparfums abaisse son objectif de revenus 2025 et prévient d'une année 2026 de transition.
Volkswagen met un frein à ses investissements en Inde et cherche un partenaire local, selon Bloomberg.
Paramount a engagé des discussions avec le fonds souverain saoudien au sujet d'une éventuelle offre d'achat de Warner Bros. Discovery, selon le FT.
Thales signe un accord de recherche pour le trafic aérien à Dubaï.
Schneider Electric signe un contrat de 2,3 MdsUSD aux Etats-Unis pour des datas centers.
Universal Music, Sony Music et Warner Music Group ont concédé sous licence leurs œuvres à la start-up musicale Klay, spécialisée dans l'intelligence artificielle, selon Bloomberg.
XAI et Nvidia vont développer un data center géant en Arabie Saoudite.
Xiaomi relève ses prévisions de livraisons pour 2025 à plus de 400 000 véhicules.
EQT serait sur le point de conclure un accord de près de 2 milliards d'euros pour racheter Desotec à Blackstone.
Canal+ obtient le renouvellement des droits de diffusion exclusifs des compétitions de clubs de l'UEFA.
GE Healthcare rachète Intelerad pour 2,3 milliards de dollars afin de se développer sur le marché des soins ambulatoires
Source : Les Echos, Investir, Investing, ZoneBourse, Reuters, ABC Bourse