L'Hebdo #157 : La fin du shutdown américain va t-elle conduire à une rotation des marchés actions et choisir entre la SCI à l'IR ou à l'IS ?
📈 Les news qui ont fait bouger les marchés cette semaine
1. Fin du shutdown et retour des statistiques américaines
Après plus de quarante jours de paralysie budgétaire, les États-Unis tournent enfin la page du plus long shutdown de leur histoire. Concrètement, plus d’1,6 million de fonctionnaires vont reprendre le travail, dont plusieurs centaines de milliers n’étaient plus payés depuis plus d’un mois. Pour les marchés, l’enjeu principal n’est pas seulement politique, il est surtout technique : la remise en route des agences statistiques qui produisent les chiffres d’emploi, d’inflation, de ventes au détail ou encore de production industrielle. Pendant toute la période de blocage, la Fed comme les investisseurs ont manqué de visibilité, ce qui compliquait énormément l’anticipation de la prochaine décision monétaire. Avec la fin du shutdown, la publication des données va pouvoir reprendre, mais de façon progressive, le temps que la machine se réenclenche. Certaines statistiques, comme le rapport sur l’emploi, pourraient revenir assez vite, d’autres prendront plus de temps. Cette phase de “réouverture des données” devient un catalyseur majeur pour les marchés actions et obligataires, puisque chaque chiffre publié pourra faire bouger les anticipations de baisse ou de statu quo des taux directeurs américains.
2. Records en Europe, mais Wall Street commence à souffler
Sur les actions, l’Europe a profité de cet environnement pour s’offrir une nouvelle salve de records. Le Stoxx Europe 600 a inscrit un plus haut historique, dopé par les valeurs bancaires, industrielles et quelques grands noms de la santé, et le CAC 40 progresse d’environ 2,8 % sur la semaine. D’autres indices européens se distinguent aussi, comme le FTSE MIB italien ou l’IBEX espagnol, très portés par leurs banques, ou encore le marché suisse et le Bel 20, soutenus par des valeurs défensives et de qualité. Globalement, les investisseurs européens semblent davantage se concentrer sur la bonne tenue des résultats d’entreprises et sur la fin du shutdown que sur les incertitudes politiques locales. À l’inverse, Wall Street montre davantage de signes de fatigue : certains indices américains restent proches de leurs sommets, mais la dynamique est moins fluide, avec des séances plus volatiles et des prises de bénéfices plus fréquentes. On assiste donc à un contraste intéressant, une Europe qui bat des records en rattrapage relatif, pendant que les marchés américains commencent à “digérer” les hausses passées.
3. Technologie sous pression et doutes croissants sur la Fed
Le cœur des interrogations se concentre sur la technologie et la thématique IA. Après une séquence de hausse spectaculaire, le Nasdaq enchaîne les séances de repli et plusieurs “stars” de l’IA subissent des corrections marquées, signe que les investisseurs commencent à douter de la capacité du secteur à justifier des valorisations déjà très tendues. Dans le même temps, le scénario d’une baisse de taux de la Fed en décembre n’est plus aussi évident : la probabilité d’un statu quo a nettement remonté, portée par les craintes inflationnistes et par le manque de données fraîches pendant le shutdown. Or, la baisse des taux était un des piliers du récit haussier sur les actions, en particulier pour les valeurs de croissance sensibles au coût de l’argent. Ce changement de perception incite les gérants à sécuriser une partie de leurs gains sur les grandes valeurs technologiques, ce qui se voit aussi sur les cryptomonnaies avec des flux négatifs sur les ETF bitcoin. En parallèle, on voit réapparaître le vieux débat sur la “rotation” : faut-il rester exposé aux vedettes de l’IA ou revenir progressivement vers des secteurs plus classiques, moins glamour, mais aux valorisations plus raisonnables, comme certaines banques, utilities ou industriels de qualité. Pour l’instant, le mouvement reste une consolidation, mais si la Fed retarde réellement sa détente monétaire, la pression sur la tech pourrait s’accentuer et renforcer cette rotation au profit des valeurs dites “ennuyeuses”.
📰 Le dossier de la semaine : Fin du shutdown américain, vers une rotation des marchés actions ?
La plus longue paralysie budgétaire de l’histoire américaine prend fin
Après 43 jours d’arrêt, le gouvernement fédéral américain a enfin rouvert ses portes. Le 14 novembre, la Maison-Blanche a signé un projet de loi prolongeant le financement de l’État jusqu’au 30 janvier 2026. Ce texte met un terme à la plus longue période de shutdown jamais enregistrée aux États-Unis et permet à plus de 1,4 million de fonctionnaires fédéraux de percevoir leurs salaires, dont la moitié étaient jusque-là en congé forcé.
Les versements des salaires en retard devraient s’effectuer d’ici le 19 novembre, tandis que les quelque 4 000 employés licenciés dans plusieurs agences, dont le Commerce, l’Éducation et la Sécurité intérieure, verront leurs postes rétablis. Le texte suspend également toute nouvelle suppression de poste d’ici la fin janvier.
Le redémarrage progressif de l’administration fédérale permet aussi la reprise de programmes clés, comme le SNAP (le programme d’aide alimentaire) désormais financé jusqu’en septembre 2026. Les compagnies aériennes, qui avaient dû réduire leur activité dans une quarantaine d’aéroports faute de contrôleurs aériens, vont pouvoir revenir à pleine capacité à l’approche du week-end de Thanksgiving, l’un des plus chargés de l’année.
Sur le plan statistique, la publication des indicateurs économiques américains devrait également reprendre. Le rapport sur l’emploi d’octobre, interrompu pendant la fermeture, sera publié dans les prochains jours, mais sans le taux de chômage officiel, le sondage des ménages n’ayant pas été mené. Le Bureau of Labor Statistics doit désormais publier un calendrier de diffusion complet, incluant les dates des prochains chiffres d’inflation et du marché du travail.
Un impact réel mais temporaire sur la croissance
Si la réouverture du gouvernement est une bonne nouvelle, le coût économique du shutdown s’annonce non négligeable. Selon le Congressional Budget Office (CBO), la paralysie aurait amputé la croissance américaine de 1,5 point au quatrième trimestre 2025, ramenant la progression du PIB à une fourchette comprise entre 1 % et 1,5 %, contre près de 3 % avant la crise.
Une partie de cette perte devrait être compensée début 2026, au fur et à mesure du versement des salaires et de la reprise des activités administratives. Toutefois, la reprise pourrait être freinée par un facteur inattendu : la hausse probable des primes d’assurance santé. Les subventions de l’Affordable Care Act, qui bénéficient à près de 24 millions d’Américains, doivent expirer le 31 décembre. Un vote est prévu au Sénat mi-décembre pour prolonger le dispositif de trois ans, mais son issue reste incertaine. En cas d’échec, le coût des soins augmenterait sensiblement et pourrait fragiliser la consommation des ménages.
En résumé, l’économie américaine ressort affaiblie à court terme mais reste sur des bases solides à moyen terme, soutenue par une politique monétaire en voie d’assouplissement et un marché de l’emploi globalement résilient.
Une rotation boursière en cours : la technologie marque le pas
Parallèlement à la fin du shutdown, les marchés financiers américains semblent amorcer une rotation sectorielle. Après plusieurs mois de domination sans partage, les valeurs technologiques et liées à l’intelligence artificielle ont connu un net ralentissement. Depuis le début du mois de novembre, ces secteurs sous-performent, tandis que la santé, l’énergie et les matériaux reprennent de la vigueur.
Ce changement d’équilibre intervient après une envolée de près de 55 % du Nasdaq depuis ses plus bas d’avril. Après une telle course, un mouvement de consolidation était attendu. Les investisseurs profitent de la fin d’année pour sécuriser leurs gains, rééquilibrer leurs portefeuilles et préparer 2026 dans un contexte de valorisations parfois excessives.
Mais au-delà du simple phénomène de prise de bénéfices, un changement plus structurel semble à l’œuvre dans les grands groupes technologiques.
Les géants de la tech adoptent des modèles plus lourds et s’endettent davantage
Historiquement assis sur d’importantes réserves de trésorerie, les mastodontes de la technologie (Meta, Google, Oracle ou Microsoft ) recourent désormais à l’endettement pour financer leurs investissements massifs dans l’IA. L’accumulation de dépenses liées aux centres de données, à l’infrastructure cloud et aux semi-conducteurs pourrait dépasser 500 milliards de dollars en 2026.
Cette transition vers des modèles plus “asset-heavy” modifie profondément leur profil financier. Le coût du capital augmente, la flexibilité diminue et les marges risquent d’être plus contraintes à moyen terme. Oracle illustre bien cette évolution, mais même des géants jusque-là considérés comme prudents, comme Meta ou Alphabet, commencent à suivre le mouvement.
Ce virage intervient dans un contexte monétaire incertain. Alors que les marchés anticipaient encore en octobre une probabilité de 95 % de baisse des taux en décembre, cette anticipation n’est plus que de 51 %. Si la Réserve fédérale reporte sa détente monétaire, le coût de la dette pourrait peser davantage sur les bénéfices de la tech en 2026.
Une correction saine dans un marché encore porteur
Malgré ces ajustements, la tendance de fond reste favorable. Les grandes entreprises technologiques continuent d’afficher des bénéfices solides et de maintenir leurs plans d’investissement dans l’intelligence artificielle. Leur vision à long terme demeure intacte, et la correction actuelle s’apparente davantage à un retour à l’équilibre qu’à une remise en cause structurelle.
Les conditions qui précèdent généralement la fin d’un cycle haussier, une Réserve fédérale resserrant fortement sa politique monétaire ou une entrée en récession, ne sont pas réunies. En d’autres termes, cette phase de repli n’annonce pas, pour l’instant, la fin du marché haussier amorcé en 2022.
Repenser la diversification : les gagnants potentiels de 2026
Ce nouvel environnement appelle à davantage de diversification. Après trois années dominées par la technologie et l’intelligence artificielle, les investisseurs ont intérêt à rééquilibrer leurs portefeuilles. Les secteurs de la santé, de l’industrie et de l’énergie, souvent délaissés, pourraient bénéficier d’un effet de rattrapage.
Les actions américaines de grande et moyenne capitalisation offrent encore des opportunités attractives, tandis que les marchés émergents commencent à regagner du terrain, portés par un dollar plus faible et une politique monétaire mondiale plus accommodante. Dans ce contexte, une allocation équilibrée entre innovation, secteurs cycliques et valeurs défensives pourrait s’avérer payante en 2026.
En conclusion
La fin du shutdown américain marque un soulagement politique et économique, mais elle s’accompagne d’un tournant boursier plus profond. La technologie, moteur incontesté de la hausse depuis deux ans, laisse place à une phase de respiration et à un possible transfert de leadership vers d’autres segments du marché.
Les investisseurs les plus avisés sauront en tirer parti : non pas en fuyant l’innovation, mais en l’intégrant dans une stratégie plus diversifiée et durable. Car si l’intelligence artificielle reste au cœur des dynamiques de croissance, l’année 2026 pourrait bien être celle du rééquilibrage.
🏠 Immobilier : SCI, impôt sur le revenu ou impôt sur les sociétés, comment choisir ?
Créer une SCI est souvent présenté comme une solution souple pour gérer un bien immobilier ou structurer un patrimoine familial. Mais derrière cette apparente simplicité se cache un choix fiscal qui influence fortement la rentabilité du projet : faut-il opter pour l’impôt sur le revenu (IR) ou se tourner vers l’impôt sur les sociétés (IS) ?
En pratique, il n’existe pas de réponse standard. Le choix dépend de la nature du bien, de l’usage prévu, de la durée de détention ou encore de la situation patrimoniale des associés.
SCI à l’impôt sur le revenu : souplesse mais fiscalité lourde
Une SCI imposée à l’IR relève du régime des revenus fonciers. Les loyers perçus sont directement imposés entre les mains des associés, proportionnellement à leurs parts. La taxation peut monter très haut, puisqu’elle cumule la tranche marginale d’imposition et les prélèvements sociaux. Aujourd’hui, elle peut atteindre 62,2 % pour les contribuables les plus imposés.
Cette forme de SCI impose un cadre strict :
le bien doit être loué nu,
la location meublée, même occasionnelle, n’est pas admise,
une activité meublée exercée dans une SCI à l’IR entraîne un risque de requalification fiscale.
Ce régime correspond donc surtout aux biens détenus pour un usage familial, aux résidences secondaires ou aux locations nues de long terme. Il convient également lorsque l’objectif principal est la simplicité et que les associés souhaitent bénéficier du régime des plus-values immobilières des particuliers, particulièrement avantageux sur la durée.
SCI à l’impôt sur les sociétés : un outil de capitalisation
À l’IS, la SCI est imposée comme une entreprise. Les bénéfices sont taxés au taux réduit de 15 % tant qu’ils n’excèdent pas 42 500 euros. Ce taux, très inférieur à celui supporté à l’IR, ouvre des perspectives intéressantes, surtout lorsque les loyers générés sont conservés dans la société.
Ce régime autorise la location meublée, ce qui en fait un outil adapté pour structurer un parc locatif moderne, générer de la trésorerie et préparer une transmission. Beaucoup d’investisseurs utilisent la SCI à l’IS comme une véritable structure de capitalisation :
les revenus restent dans la société,
ils peuvent servir à rembourser un compte courant d’associé sans fiscalité,
ils permettent d’accumuler un patrimoine sans subir la lourdeur de l’IR.
En parallèle, la valorisation des parts peut bénéficier d’une décote en cas d’imposition à l’IFI, ce qui renforce l’intérêt patrimonial de cette structure.
Exemple de fonctionnement d’une SCI à l’IS
Pour illustrer son efficacité, imaginons une personne fortement imposée qui place une partie de son patrimoine dans une SCI à l’IS.
Le capital apporté permet d’investir dans plusieurs actifs immobiliers. Les loyers perçus sont imposés à 15 % au niveau de la société (ou 25%), bien loin de la taxation pouvant dépasser 60 % à l’IR. Tant que les bénéfices restent dans la société, aucune imposition personnelle n’est due. Les associés pourront décider plus tard de distribuer une partie des résultats sous forme de dividendes, soumis alors à la flat tax.
Cette organisation permet de lisser la fiscalité, de maîtriser les flux et d’optimiser la transmission du patrimoine.
Le revers de la médaille : des plus-values moins avantageuses
Si la SCI à l’IS semble très attractive à court terme, elle présente une contrainte majeure lors de la revente d’un bien. Contrairement à la SCI à l’IR, qui bénéficie d’un abattement progressif sur les plus-values immobilières jusqu’à l’exonération totale au bout de 30 ans, la SCI à l’IS ne profite d’aucun abattement pour durée de détention.
La plus-value se calcule selon les règles des entreprises :
le bien est amorti comptablement chaque année,
au moment de la vente, les amortissements viennent diminuer la valeur nette comptable,
ce mécanisme augmente mécaniquement la plus-value imposable.
Ainsi, plus un bien a été détenu longtemps, plus la plus-value taxable peut se révéler élevée. Et après l’imposition à l’IS, si les associés souhaitent récupérer les fonds, les dividendes seront ensuite soumis à la flat tax.
Ce point rend parfois l’IS moins intéressant pour les biens destinés à être revendus à moyen ou long terme.
Changer d’IR à IS : une fausse bonne idée
Il est possible de transformer une SCI à l’IR en SCI à l’IS, mais cette opération est rarement neutre. Le passage à l’IS est considéré fiscalement comme une cession du patrimoine, ce qui peut entraîner une taxation immédiate des plus-values latentes ou un report d’imposition qui resurgira au moment de la vente.
Changer de régime doit donc être anticipé très en amont et réalisé uniquement lorsqu’il s’inscrit clairement dans la stratégie patrimoniale.
Comment faire le bon choix ?
On peut retenir quelques grandes lignes pour orienter la décision :
Pour une résidence secondaire, un bien de famille ou une location nue, la SCI à l’IR reste la plus cohérente. Elle offre une gestion simple et un régime de plus-values très avantageux en cas de revente.
Pour un projet locatif meublé, un patrimoine diversifié ou une volonté de transmission structurée, la SCI à l’IS est souvent plus performante. Elle permet de capitaliser les revenus à moindre coût, de gérer la trésorerie plus librement et d’adopter une stratégie de long terme.
Dans tous les cas, le choix dépend de l’horizon de détention, de la nature des revenus, de l’objectif patrimonial et du niveau d’imposition des associés. La SCI est un outil puissant, mais c’est la cohérence entre le régime fiscal et le projet immobilier qui en déterminera l’efficacité.
💸 Les annonces d’entreprises à noter de la semaine :
Meta s'en tient à son programme d'investissement de plus de 600 milliards de dollars aux Etats-Unis d'ici 2028.
Visa et Mastercard seraient proches d'un accord pour réduire les frais des commerçants aux Etats-Unis et leur accorder plus de latitude vis-à-vis du paiement par carte, selon le WSJ.
Le PDG de Nvidia a demandé à TSMC de lui fournir davantage de puces pour faire face à la demande.
Samsung est en pourparlers avancés avec Barclays pour lancer une carte de crédit grand public aux Etats-Unis, selon le WSJ.
LVMH s'apprêterait à ouvrir d'importants magasins en Chine en décembre, selon Bloomberg.
Renault se retire d'un projet de moteur électrique sans terres rares avec Valeo et cherche un fournisseur chinois à la place, révèle Reuters.
Vodafone prévoit d'atteindre le haut de la fourchette prévisionnelle pour son bénéfice et son flux de trésorerie pour l'exercice.
Porsche Automobil Holding affiche des résultats en berne, conséquence des retards de lancement et du ralentissement du marché chinois.
Netflix ouvre ses premiers parcs à thème aux Etats-Unis.
Apple retarde la sortie du prochain iPhone Air en raison de ventes décevantes, révèle The Information.
Luca de Meo a failli prendre les commandes de LVMH avant de filer chez Kering, selon La Lettre.
La Maison Blanche chercherait à limiter le pouvoir actionnarial des sociétés de conseil et des fonds indiciels comme BlackRock, selon le WSJ.
Microsoft va investir 10 milliards de dollars au Portugal.
Volkswagen et Xpeng prévoient le lancement en 2026 d'un SUV électrique fabriqué en Chine.
La famille Saadé prend 4% de Carrefour en rachetant les parts de Peninsula.
Engie signe un contrat de fourniture d'énergie renouvelable d'une durée de neuf ans avec AstraZeneca.
JD Industrial (JD.com) envisage une introduction en bourse à Hong Kong le mois prochain avec un objectif revu à la baisse.
Alstom réalise un résultat net part du Groupe de 220 MEUR au premier semestre.
Paramount, Comcast et Netflix préparent des offres pour Warner Bros Discovery, selon le WSJ.
Tesla prévoit d'intégrer Apple CarPlay, révèle Bloomberg.
Amazon et Microsoft soutiennent une initiative visant à restreindre les exportations de Nvidia vers la Chine, selon le WSJ.
Nissan supprime des emplois à son siège régional européen dans le cadre d'une vaste restructuration mondiale.
Alibaba se prépare à une refonte majeure de son application d'IA afin de rivaliser avec ChatGPT.
Estée Lauder réalise un investissement minoritaire dans la marque mexicaine de parfums de luxe Xinú.
Source : Les Echos, Investir, Investing, ZoneBourse, Reuters, ABC Bourse